Instants volés (Alistair & Lindsay)
Page 1 sur 1 • Partagez
► cycle 3 | nothing can stand in the way of true love
Instants volés
Alistair & Lindsay
Le soleil a commencé sa courbe descendante sur Édimbourg et, déjà, la luminosité commence a baisser. Mais s’il y a bien une chose qui ne baisse pas, c’est l’enthousiasme du scientifique alors qu’il s’avance dans les rues de Grassmarket.
Naturellement, il est toujours particulièrement ravi de pouvoir passer un peu de temps avec son cher Lindsay, mais aujourd’hui était légèrement différente de ses habitudes. Aujourd’hui, il avait prévu d’emmener son âme sœur en rendez-vous. Inutile de dire que le chapelier n’en avait pour l’instant aucune idée. Mais Alistair était bien déterminé à faire passer cette méconnaissance sur les pertes de mémoire du jeune homme.
C’est donc affublé de son plus beau costume et coiffé de son meilleur chapeau -fabriqué ici même, pas les main délicates de l’homme qui l’obsédait- qu’il pousse la porte de la chapellerie Underwood, un sourire avenant collé aux lèvres.
La petite cloche annonçant son entrée retentis quand la porte la bouscule. L’homme pénètre dans la boutique comme s’il y était. Son regard cours un instant sur la pièce, notant l’absence de la raison de sa présence ici. C’est donc sans aucune gêne qu’il fait le tour du comptoir et pousse une nouvelle porte, celle de l’arrière boutique.
Mais là encore, il est déçus de trouver la pièce vide. Peut être Lindsay a-t-il du s’absenter le temps d’une course ? Dans tout les cas, la boutique était toujours ouverte, donc il ne devrait probablement pas tarder à revenir. Le bruit de la petite clochette raisonne à nouveau dans la battisse, attirant l’attention du psychiatre. Plein d’espoir quant à l’identité de la personne qui venait d’entrée, il rejoint rapidement la salle principale, uniquement pour tomber nez à nez avec un parfait inconnu.
Alistair fronce le nez un bref instant, déçu et agacé de ne pas voir Underwood en lieu et place de cet inconnu, qui, par sa simple présence, menaçait de se mettre en lui et son âme sœur. Il s’éclaircit la voix pour attirer l’attention de l’autre homme avant de prendre la parole.
— Monsieur Underwood est pour l’instant absent. Je ne peux que vous conseiller de bien vouloir repasser plus tard.
— Mais je devais le voir aujourd’hui, nous avions rendez vous pour parler d’un nouveau modè…
— Il n’est pas là, je vous dis. Il vous recontactera pour reprogrammer un nouveau rendez-vous, n’ayez crainte. Maintenant, si vous voulez bien…
Sec, il désigne la porte de la main d’un geste néanmoins élégant, faisant clairement comprendre à l’intrus qu’il n’est pas le bienvenue. L’ambiance devient rapidement lourde, alors que le scientifique défie l’autre homme du regard. Par chance, l’inconnu semble avoir plus d’instinct de survie que de cerveau et finit par quitter la boutique, le laissant à nouveau seul.
Un sourire satisfait ne tarde pas à se frayer à nouveau un chemin sur les lèvres de Domhnall qui, désireux d’être au première loges pour l’entrée de son petit protégé, contourne à nouveau le comptoir pour s’asseoir dessus, face à la porte.
Naturellement, il est toujours particulièrement ravi de pouvoir passer un peu de temps avec son cher Lindsay, mais aujourd’hui était légèrement différente de ses habitudes. Aujourd’hui, il avait prévu d’emmener son âme sœur en rendez-vous. Inutile de dire que le chapelier n’en avait pour l’instant aucune idée. Mais Alistair était bien déterminé à faire passer cette méconnaissance sur les pertes de mémoire du jeune homme.
C’est donc affublé de son plus beau costume et coiffé de son meilleur chapeau -fabriqué ici même, pas les main délicates de l’homme qui l’obsédait- qu’il pousse la porte de la chapellerie Underwood, un sourire avenant collé aux lèvres.
La petite cloche annonçant son entrée retentis quand la porte la bouscule. L’homme pénètre dans la boutique comme s’il y était. Son regard cours un instant sur la pièce, notant l’absence de la raison de sa présence ici. C’est donc sans aucune gêne qu’il fait le tour du comptoir et pousse une nouvelle porte, celle de l’arrière boutique.
Mais là encore, il est déçus de trouver la pièce vide. Peut être Lindsay a-t-il du s’absenter le temps d’une course ? Dans tout les cas, la boutique était toujours ouverte, donc il ne devrait probablement pas tarder à revenir. Le bruit de la petite clochette raisonne à nouveau dans la battisse, attirant l’attention du psychiatre. Plein d’espoir quant à l’identité de la personne qui venait d’entrée, il rejoint rapidement la salle principale, uniquement pour tomber nez à nez avec un parfait inconnu.
Alistair fronce le nez un bref instant, déçu et agacé de ne pas voir Underwood en lieu et place de cet inconnu, qui, par sa simple présence, menaçait de se mettre en lui et son âme sœur. Il s’éclaircit la voix pour attirer l’attention de l’autre homme avant de prendre la parole.
— Monsieur Underwood est pour l’instant absent. Je ne peux que vous conseiller de bien vouloir repasser plus tard.
— Mais je devais le voir aujourd’hui, nous avions rendez vous pour parler d’un nouveau modè…
— Il n’est pas là, je vous dis. Il vous recontactera pour reprogrammer un nouveau rendez-vous, n’ayez crainte. Maintenant, si vous voulez bien…
Sec, il désigne la porte de la main d’un geste néanmoins élégant, faisant clairement comprendre à l’intrus qu’il n’est pas le bienvenue. L’ambiance devient rapidement lourde, alors que le scientifique défie l’autre homme du regard. Par chance, l’inconnu semble avoir plus d’instinct de survie que de cerveau et finit par quitter la boutique, le laissant à nouveau seul.
Un sourire satisfait ne tarde pas à se frayer à nouveau un chemin sur les lèvres de Domhnall qui, désireux d’être au première loges pour l’entrée de son petit protégé, contourne à nouveau le comptoir pour s’asseoir dessus, face à la porte.
CODE BY ÐVÆLING // groover par une licorne
- I'm surrounded by idiots
- Alistair DomhnallMessages : 46
Points : 62
Avatar : Cory Michael Smith
Crédit : XynPapple
Multicompte : Earnan MacLeod of Lewis + Seaghdh Leamhnach
Pseudo : XynPapple
Taux d'abomination : Age : 32 ans
Métier : Professeur en psychiatrie
Pouvoirs : Mensonges imparable (1pt), Provoquer des cauchemars (1pt), Éveiller des peurs enfouies (1pt),Charmer les jeunes (1pt), Invisibilité de courte durée (3pt)
Inconvénients : Incapables de laisser passer une défaite, Fascination pour la couleur rouge, Leurs blagues vont souvent un peu trop loin, Farceurs
- Faileas
- Lindsay UnderwoodMessages : 51
Points : 87
Avatar : Robin Lord Taylor
Crédit : lstwizzle (avatar) & Anesidora (signa)
Multicompte : Seòras Ìomharach & Neacal Keer
Pseudo : MillinerXIII
Taux d'abomination : Age : 30 ans
Métier : Chapelier
Pouvoirs : Insensibilité à la chaleur, discrétion naturelle, nyctalope
Inconvénients : Emétophobie, sang froid, N'aime pas le son de la cornemuse
It is absolutely terrifying the kind of deep suffering the happiest looking people are able to hide inside themselves
He chased me and he wouldn't stop. Tag, you're it. Grabbed my hand, pushed me down Took the words right out my mouth.
do you feel my breath on your neck ?
Vous avez ouvert grands les yeux sur le monde. Et vous avez pris ce qui traînez sur votre table. Un fin coupe-papier, pour ouvrir vos correspondances. Vous l’avez mis dans votre main et du bout du doigt, vous l’avez effleuré. Vous vous êtes dit qu’il suffirait pour vos actes, sa lame est longue de presque vingt centimètres, son métal est ordinaire. Il vous servira parfaitement. Vous avez choisi la cape la plus discrète que vous avez pu trouver chez votre hôte. Et vous êtes sorti, pour faire un tour. Vous avez parcouru les rues, en prenant votre temps, en observant les gens. Vous avez croisé des visages que vous connaissez, d’autres dont vous ignorez tout et vous avez décidé de choisir ceux-là. Vous avez décidé de vous en prendre à ceux que vous ne connaissiez pas. Peut-être seraient-ils des selkies et cela arrangerait vos affaires. Vous avez décidé de tuer ceux dont vous ignorez tout. Une fois ce choix fait, vous vous êtes dit qu’il fallait encore marcher. Alors vous l’avez fait. Vous vous êtes balader dans les rues avec l’idée de trouver votre victime. Une qui vous inspirerez pour la mort. Vous avez calculé chaque personne que vous avez croisé. La manière de le faire, l’inclinaison de votre fine lame, la force de frappe que vous devez donner pour déchirer la peau, le risque des hurlements. Et puis, enfin, vous l’avez trouvé. Il erre dans la rue à votre attente, mais il finit par se presser. A-t-il vu que vous le suiviez depuis un moment ? A-t-il su que vous étiez là ? Vous l’ignorez. Mais vous vous arrêtez, vous le laissez partir un peu devant et rentrer dans une boutique : une chapellerie. Vous le laissez rentrer, vous ne vous cachez même pas. Vous vous trouvez de l’autre côté de la rue, à regarder les silhouettes à l’intérieur. Vous hésitez mais vous l’avez choisi. Alors vous traverser et vous poussez enfin la porte. Vous ne dites pas un mot en entrant. Vous entrez seulement et vous refermez derrière-vous. Calmement, vous vous avancer vers l’homme accoudé au comptoir.
Vous allez pouvoir enfin faire votre première victime. Vous n'êtes pas impatient pourtant. Vous avez tout votre temps. Vous vous en convainquez durant les quelques secondes qui vous sépare de votre acte mais la porte s'ouvre. Vous entendez des voix, des bonjours. Vous ne vous retournez pas. Vous restez figés avant de vous détourner et d'aller observer autre chose. Vous êtes frustré.
Instants volés
Vous avez ouvert grands les yeux sur le monde. Et vous avez pris ce qui traînez sur votre table. Un fin coupe-papier, pour ouvrir vos correspondances. Vous l’avez mis dans votre main et du bout du doigt, vous l’avez effleuré. Vous vous êtes dit qu’il suffirait pour vos actes, sa lame est longue de presque vingt centimètres, son métal est ordinaire. Il vous servira parfaitement. Vous avez choisi la cape la plus discrète que vous avez pu trouver chez votre hôte. Et vous êtes sorti, pour faire un tour. Vous avez parcouru les rues, en prenant votre temps, en observant les gens. Vous avez croisé des visages que vous connaissez, d’autres dont vous ignorez tout et vous avez décidé de choisir ceux-là. Vous avez décidé de vous en prendre à ceux que vous ne connaissiez pas. Peut-être seraient-ils des selkies et cela arrangerait vos affaires. Vous avez décidé de tuer ceux dont vous ignorez tout. Une fois ce choix fait, vous vous êtes dit qu’il fallait encore marcher. Alors vous l’avez fait. Vous vous êtes balader dans les rues avec l’idée de trouver votre victime. Une qui vous inspirerez pour la mort. Vous avez calculé chaque personne que vous avez croisé. La manière de le faire, l’inclinaison de votre fine lame, la force de frappe que vous devez donner pour déchirer la peau, le risque des hurlements. Et puis, enfin, vous l’avez trouvé. Il erre dans la rue à votre attente, mais il finit par se presser. A-t-il vu que vous le suiviez depuis un moment ? A-t-il su que vous étiez là ? Vous l’ignorez. Mais vous vous arrêtez, vous le laissez partir un peu devant et rentrer dans une boutique : une chapellerie. Vous le laissez rentrer, vous ne vous cachez même pas. Vous vous trouvez de l’autre côté de la rue, à regarder les silhouettes à l’intérieur. Vous hésitez mais vous l’avez choisi. Alors vous traverser et vous poussez enfin la porte. Vous ne dites pas un mot en entrant. Vous entrez seulement et vous refermez derrière-vous. Calmement, vous vous avancer vers l’homme accoudé au comptoir.
- Dé d’attaque :
échec critique : Vous n’avez pas de chance, de nouveaux clients entre après vous alors que vous voilà si près de votre victime.échec alarmant : Un faux mouvement de vos doigts fait glisser le coupe-papier au sol. Il tombe sur le plancher. Ont-ils compris vos intentions ?échec anodin : Vous y êtes presque, mais vous voilà figé derrière votre victime, incapable de vous lancer pour le tuer, vous hésitez.blessure superficielle : Vous allez enfin pouvoir accomplir votre dessin. Mais votre cible a bougé, vous privant de le blesser gravement, votre coupe papier lui entaille le bras.blessure grave : Vous parvenez derrière Lindsey Underwood, satisfait. Votre main se lève pour faire retomber votre longue lame dans l’épaule de votre victime.blessure mortelle : Vous êtes derrière Lindsay Underwood, enfin. Votre main attrape son épaule, pour une meilleure prise et vous enfoncez votre lame dans le creux de son dos.
Vous allez pouvoir enfin faire votre première victime. Vous n'êtes pas impatient pourtant. Vous avez tout votre temps. Vous vous en convainquez durant les quelques secondes qui vous sépare de votre acte mais la porte s'ouvre. Vous entendez des voix, des bonjours. Vous ne vous retournez pas. Vous restez figés avant de vous détourner et d'aller observer autre chose. Vous êtes frustré.
- I am the monster you claim
- Sreath-MhurtairMessages : 102
Points : 384
Avatar : --
Crédit : --
Multicompte : --
Pseudo : --
Taux d'abomination :
Le membre 'Sreath-Mhurtair' a effectué l'action suivante : Le Destin
'Sreath-Mhurtair' :
'Sreath-Mhurtair' :
- Let nature be your guide
- Ceann-UidheMessages : 230
Points : 1071
Avatar : Les dés
Crédit : La destinée
Multicompte : --
Pseudo : --
Taux d'abomination :
► cycle 3 | nothing can stand in the way of true love
Instants volés
Alistair & Lindsay
Alors que la silhouette de son bien aimé se dessine dans l’entrée, le sourire d’Alistair fleurit un peu plus, l’accueillant avec un air particulièrement réjouit. Il n’est cependant pas surpris de voir Lindsay sursauter à sa vue. Le pauvre petit chéri a toujours été particulièrement sensible. Cependant, loin de s’excuser pour la frayeur occasionné, il se contente d’observer l’autre avec l’air relativement satisfait d’un chat devant une coupelle de lait.
— Pardonnez moi, je ne m'attendais pas à trouver quelqu'un ici ... Bonsoir Alistair.
Le psychiatre retint de justesse un gloussement en voyant les joues du chapelier rosir. Décidément, cet homme avait le chic pour lui faire perdre le contrôle de lui même. Et compte tenu d’à quel point l’homme détestait perdre le contrôle, Dieu était témoin de l’amour sans faille qu’il porte à l’autre homme. Ou peut-être est ce justement cet abandon qu’il lui offre qui fascine tant le marionnettiste?
— Je vous demanderais de descendre, je vous prie, mon comptoir n'est pas un siège ou un perchoir.
Le temps d’un nouveau sourire, et les pieds de Domhnall touchent le sol avec légèreté. Profitant qu’ils soient seuls, il fais un pas vers son âme sœur, en profitant pour se rapprocher de lui et, avec un peu de chance, pouvoir humer son parfum.
— Bonsoir Lindsay. Je te prie de bien vouloir m’excuser. Mais comme il n’y avait personne, je craignais qu’un vandale ou l’autre ne soit tenté de venir dévaliser ta boutique.
A son grand désarroi, il observe le plus jeune s’éloigner de lui pour prendre place derrière le comptoir de la boutique. Il ne lui faut cependant pas plus d’une fraction de seconde que pour s’appuyer sur le comptoir, légèrement penché vers l’objet de son désir.
— En quoi puis-je vous aider aujourd'hui ? Vouliez vous-vous fournir d'un nouveau couvre chef ? Je ne crois pas avoir de nouveau modèle depuis votre dernière visite, j'en ai peur.
Alistair retient une grimace en notant que son cher et tendre tente toujours de lui cacher la maladie qu’il sait pourtant l’affliger. Combien de fois n’as-t-il pas souhaiter que l’homme se confie enfin à lui, ne lui ouvre son cœur et ne lui confie la maladie dont il souffrait. Il pourrait être un soutien indéfectible pour lui, s’il voulait bien lui faire confiance. Oui, il était essentiel que Lindsay lui fasse confiance et le lui confie, pour son bien.
Qu’il n’en ait aucune envie pour l’instant n’avait aucune importance. Il finirait par comprendre qu’il ne faisait tout ça que pour son bien.
Il est cependant ravi de voir le brun se pencher lui aussi vers lui. Quiconque aurait observé la scène de l’extérieur y aurait probablement vu deux amoureux en train de roucouler. Ou deux hommes en train de comploter, pour les moins équilibrés des habitants d’Édimbourg.
Il se force cependant a peindre un air peiné sur ses traits, se reculant légèrement, brisant le charme comme si le chapelier venait de dire quelque chose de profondément vexant.
— Quand je suis arrivé et que la boutique était vide… J’ai cru que tu avais oublié notre rendez-vous. Puis, en te voyant arriver, je me suis laisser aller a espérer. Mais, de toute évidence…
La clochette de la boutique le coupe dans sa phrase. Il valait mieux ne pas laisser n’importe quelle oreille entendre les douceurs qu’il voulait glisser à l’oreille de son aimé. Aussi, il jette un regard derrière lui, pour apercevoir deux silhouettes se glisser dans le magasin. Voilà qui était contrariant. Et il n’aimait pas être contrarié…
Il allait devoir adapter son plan.
Il se tourne à nouveau vers le propriétaire des lieux et se penche vers lui, jusqu’à pouvoir lui murmurer au creux de l’oreille.
— Tu n’as pas oublié notre rendez-vous galant, n’est ce pas ?
Il reste immobile quelques secondes avant de se reculer, haussant les sourcils au dessus d’un regard plein d’espoir, priant pour qu’Underwood ne morde à l’hameçon. Un ange passe et ses sourcils retombent, presque en même temps que ses épaules alors qu’il affiche une mine abattue.
— J’ai la sensation que tu as oublié…
— Pardonnez moi, je ne m'attendais pas à trouver quelqu'un ici ... Bonsoir Alistair.
Le psychiatre retint de justesse un gloussement en voyant les joues du chapelier rosir. Décidément, cet homme avait le chic pour lui faire perdre le contrôle de lui même. Et compte tenu d’à quel point l’homme détestait perdre le contrôle, Dieu était témoin de l’amour sans faille qu’il porte à l’autre homme. Ou peut-être est ce justement cet abandon qu’il lui offre qui fascine tant le marionnettiste?
— Je vous demanderais de descendre, je vous prie, mon comptoir n'est pas un siège ou un perchoir.
Le temps d’un nouveau sourire, et les pieds de Domhnall touchent le sol avec légèreté. Profitant qu’ils soient seuls, il fais un pas vers son âme sœur, en profitant pour se rapprocher de lui et, avec un peu de chance, pouvoir humer son parfum.
— Bonsoir Lindsay. Je te prie de bien vouloir m’excuser. Mais comme il n’y avait personne, je craignais qu’un vandale ou l’autre ne soit tenté de venir dévaliser ta boutique.
A son grand désarroi, il observe le plus jeune s’éloigner de lui pour prendre place derrière le comptoir de la boutique. Il ne lui faut cependant pas plus d’une fraction de seconde que pour s’appuyer sur le comptoir, légèrement penché vers l’objet de son désir.
— En quoi puis-je vous aider aujourd'hui ? Vouliez vous-vous fournir d'un nouveau couvre chef ? Je ne crois pas avoir de nouveau modèle depuis votre dernière visite, j'en ai peur.
Alistair retient une grimace en notant que son cher et tendre tente toujours de lui cacher la maladie qu’il sait pourtant l’affliger. Combien de fois n’as-t-il pas souhaiter que l’homme se confie enfin à lui, ne lui ouvre son cœur et ne lui confie la maladie dont il souffrait. Il pourrait être un soutien indéfectible pour lui, s’il voulait bien lui faire confiance. Oui, il était essentiel que Lindsay lui fasse confiance et le lui confie, pour son bien.
Qu’il n’en ait aucune envie pour l’instant n’avait aucune importance. Il finirait par comprendre qu’il ne faisait tout ça que pour son bien.
Il est cependant ravi de voir le brun se pencher lui aussi vers lui. Quiconque aurait observé la scène de l’extérieur y aurait probablement vu deux amoureux en train de roucouler. Ou deux hommes en train de comploter, pour les moins équilibrés des habitants d’Édimbourg.
Il se force cependant a peindre un air peiné sur ses traits, se reculant légèrement, brisant le charme comme si le chapelier venait de dire quelque chose de profondément vexant.
— Quand je suis arrivé et que la boutique était vide… J’ai cru que tu avais oublié notre rendez-vous. Puis, en te voyant arriver, je me suis laisser aller a espérer. Mais, de toute évidence…
La clochette de la boutique le coupe dans sa phrase. Il valait mieux ne pas laisser n’importe quelle oreille entendre les douceurs qu’il voulait glisser à l’oreille de son aimé. Aussi, il jette un regard derrière lui, pour apercevoir deux silhouettes se glisser dans le magasin. Voilà qui était contrariant. Et il n’aimait pas être contrarié…
Il allait devoir adapter son plan.
Il se tourne à nouveau vers le propriétaire des lieux et se penche vers lui, jusqu’à pouvoir lui murmurer au creux de l’oreille.
— Tu n’as pas oublié notre rendez-vous galant, n’est ce pas ?
Il reste immobile quelques secondes avant de se reculer, haussant les sourcils au dessus d’un regard plein d’espoir, priant pour qu’Underwood ne morde à l’hameçon. Un ange passe et ses sourcils retombent, presque en même temps que ses épaules alors qu’il affiche une mine abattue.
— J’ai la sensation que tu as oublié…
CODE BY ÐVÆLING // groover par une licorne
- I'm surrounded by idiots
- Alistair DomhnallMessages : 46
Points : 62
Avatar : Cory Michael Smith
Crédit : XynPapple
Multicompte : Earnan MacLeod of Lewis + Seaghdh Leamhnach
Pseudo : XynPapple
Taux d'abomination : Age : 32 ans
Métier : Professeur en psychiatrie
Pouvoirs : Mensonges imparable (1pt), Provoquer des cauchemars (1pt), Éveiller des peurs enfouies (1pt),Charmer les jeunes (1pt), Invisibilité de courte durée (3pt)
Inconvénients : Incapables de laisser passer une défaite, Fascination pour la couleur rouge, Leurs blagues vont souvent un peu trop loin, Farceurs
- Faileas
- Lindsay UnderwoodMessages : 51
Points : 87
Avatar : Robin Lord Taylor
Crédit : lstwizzle (avatar) & Anesidora (signa)
Multicompte : Seòras Ìomharach & Neacal Keer
Pseudo : MillinerXIII
Taux d'abomination : Age : 30 ans
Métier : Chapelier
Pouvoirs : Insensibilité à la chaleur, discrétion naturelle, nyctalope
Inconvénients : Emétophobie, sang froid, N'aime pas le son de la cornemuse
It is absolutely terrifying the kind of deep suffering the happiest looking people are able to hide inside themselves
He chased me and he wouldn't stop. Tag, you're it. Grabbed my hand, pushed me down Took the words right out my mouth.
► cycle 3 | nothing can stand in the way of true love
Instants volés
Alistair & Lindsay
Si le psychiatre affiche un air particulièrement affecté, intérieurement, il exulte. Naturellement, il avait totalement confiance en ses capacités de manipulation et était certain de pouvoir amener le petit chapelier exactement ou il le désirait, mais c’était toujours satisfaisant de voir ses certitudes vérifiées.
Les joues rosies de celui qui occupe toutes ses pensées, ses bégaiement charmants, son air perdu face aux déclaration plus qu’osée qu’il lui glisse à l’oreille ; tout ça rends Alistair absolument extatique.
Cependant, et même s’il avait prévu cet état, il n’était pas forcément simple pour le fir darrig d’observer son protégé se débattre avec lui même de la sorte. Il n’avait qu’une envie, accélérer les choses, faire comprendre à Lindsay qu’il n’y a aucun mal à ressentir ce qu’il ressent. Après tout, Domhnall n’a-t-il pas fait tout ce qui était en son pouvoir pour s’assurer que ses sentiments dévorants lui soient retournés ? Même avec la meilleure volonté du monde, l’autre n’aurait pas pu lui résister bien longtemps.
Sachant que le temps de réconforter son chapelier viendra en temps et en heure, le manipulateur se retient de faire un premier pas vers son aimé. Bouger trop vite pourrait être mal perçus. Il se contente donc pour l’heure de peindre un air inquiet sur ses traits, comme s’il ne parvenait pas à suivre le cheminement de pensée d’Underwood rien qu’en le regardant dans les yeux.
— Je suis navré je ... J'ai du mal comprendre ... Je...
Alistair observe avec attention les yeux de son aimé de gorger de larmes. Il ne rate pas un miette de la détresse de celui qui hante ses nuits, prenant quelque part plaisir à le voir faire un pas en plus vers le piège qu’il lui tends. Il s’octroie ce moment pour accepter une nouvelle fois que, pour que son âme sœur ne soit un jour heureuse, il ne doive en passer par là.
— Pardonnez-moi ...
La mine dépitée, il observe l’homme qui l’obsède se retrancher dans son arrière boutique. Dès l’instant ou il est certain que ce dernier ne peut plus le voir, le psychiatre s’autorise un sourire satisfait. Il s’empresse cependant, à regret, de chasser cet instant d’auto satisfaction. L’homme pivote sur ses pieds pour faire face à la boutique, un air contrit maintenant affiché sur ses traits, ses mains jointes au niveau de son torse en un geste de prière poli.
— Messieurs Dames, il semblerait que Monsieur Underwood soit souffrant. Je vous serez donc gré de vous diriger vers la sortie. Je crains que la chapellerie ne soit fermée le temps que je ne puisse m’assurer de son état.
De peur de louper le coche avec son aimé, il ne prends pas la peine de vérifier que les deux clients de la boutique ne quittent bien les lieux. Après tout, la caisse est en relative sécurité, et il pourra toujours rembourser tout objet qui serait volé pendant cet instant. Pas de quoi s’inquiéter donc…
Domhnall fait donc demi tour et s’empresse de contourner le comptoir, relevant ses épaules qu’il avait dégagé un peu plus tôt, abandonnant la posture confiante et solide qu’il avait utilisé pour donner des ordres à de parfaits inconnus pour la muer en celle de l’homme inquiet et attristé.
Il ne lui faut qu’un fraction de seconde pour comprendre ou le chapelier se trouve. Conscient que c’est probablement ici que tout se jouera, il s’autorise une longue inspiration avant de s’avancer à pas mesuré, comme il le ferait avec un animal blessé.
— Lindsay ? Est ce que ça va ? J’ai dis quelque chose qu’il ne fallait pas ?
Il finit par rejoindre le petit brun et tends le bras pour poser une main réconfortante sur ses épaule alors qu’il tente de capter son regard.
— Tu sais, je ne vais pas m’envoler simplement parce que tu as oublié un rendez-vous… Je sais bien que tu as beaucoup de choses à penser avec la boutique…
Les joues rosies de celui qui occupe toutes ses pensées, ses bégaiement charmants, son air perdu face aux déclaration plus qu’osée qu’il lui glisse à l’oreille ; tout ça rends Alistair absolument extatique.
Cependant, et même s’il avait prévu cet état, il n’était pas forcément simple pour le fir darrig d’observer son protégé se débattre avec lui même de la sorte. Il n’avait qu’une envie, accélérer les choses, faire comprendre à Lindsay qu’il n’y a aucun mal à ressentir ce qu’il ressent. Après tout, Domhnall n’a-t-il pas fait tout ce qui était en son pouvoir pour s’assurer que ses sentiments dévorants lui soient retournés ? Même avec la meilleure volonté du monde, l’autre n’aurait pas pu lui résister bien longtemps.
Sachant que le temps de réconforter son chapelier viendra en temps et en heure, le manipulateur se retient de faire un premier pas vers son aimé. Bouger trop vite pourrait être mal perçus. Il se contente donc pour l’heure de peindre un air inquiet sur ses traits, comme s’il ne parvenait pas à suivre le cheminement de pensée d’Underwood rien qu’en le regardant dans les yeux.
— Je suis navré je ... J'ai du mal comprendre ... Je...
Alistair observe avec attention les yeux de son aimé de gorger de larmes. Il ne rate pas un miette de la détresse de celui qui hante ses nuits, prenant quelque part plaisir à le voir faire un pas en plus vers le piège qu’il lui tends. Il s’octroie ce moment pour accepter une nouvelle fois que, pour que son âme sœur ne soit un jour heureuse, il ne doive en passer par là.
— Pardonnez-moi ...
La mine dépitée, il observe l’homme qui l’obsède se retrancher dans son arrière boutique. Dès l’instant ou il est certain que ce dernier ne peut plus le voir, le psychiatre s’autorise un sourire satisfait. Il s’empresse cependant, à regret, de chasser cet instant d’auto satisfaction. L’homme pivote sur ses pieds pour faire face à la boutique, un air contrit maintenant affiché sur ses traits, ses mains jointes au niveau de son torse en un geste de prière poli.
— Messieurs Dames, il semblerait que Monsieur Underwood soit souffrant. Je vous serez donc gré de vous diriger vers la sortie. Je crains que la chapellerie ne soit fermée le temps que je ne puisse m’assurer de son état.
De peur de louper le coche avec son aimé, il ne prends pas la peine de vérifier que les deux clients de la boutique ne quittent bien les lieux. Après tout, la caisse est en relative sécurité, et il pourra toujours rembourser tout objet qui serait volé pendant cet instant. Pas de quoi s’inquiéter donc…
Domhnall fait donc demi tour et s’empresse de contourner le comptoir, relevant ses épaules qu’il avait dégagé un peu plus tôt, abandonnant la posture confiante et solide qu’il avait utilisé pour donner des ordres à de parfaits inconnus pour la muer en celle de l’homme inquiet et attristé.
Il ne lui faut qu’un fraction de seconde pour comprendre ou le chapelier se trouve. Conscient que c’est probablement ici que tout se jouera, il s’autorise une longue inspiration avant de s’avancer à pas mesuré, comme il le ferait avec un animal blessé.
— Lindsay ? Est ce que ça va ? J’ai dis quelque chose qu’il ne fallait pas ?
Il finit par rejoindre le petit brun et tends le bras pour poser une main réconfortante sur ses épaule alors qu’il tente de capter son regard.
— Tu sais, je ne vais pas m’envoler simplement parce que tu as oublié un rendez-vous… Je sais bien que tu as beaucoup de choses à penser avec la boutique…
CODE BY ÐVÆLING // groover par une licorne
- I'm surrounded by idiots
- Alistair DomhnallMessages : 46
Points : 62
Avatar : Cory Michael Smith
Crédit : XynPapple
Multicompte : Earnan MacLeod of Lewis + Seaghdh Leamhnach
Pseudo : XynPapple
Taux d'abomination : Age : 32 ans
Métier : Professeur en psychiatrie
Pouvoirs : Mensonges imparable (1pt), Provoquer des cauchemars (1pt), Éveiller des peurs enfouies (1pt),Charmer les jeunes (1pt), Invisibilité de courte durée (3pt)
Inconvénients : Incapables de laisser passer une défaite, Fascination pour la couleur rouge, Leurs blagues vont souvent un peu trop loin, Farceurs
do you feel my breath on your neck ?
Vous souriez et vous vous intéressez à ce qu’il y autours de vous. Vous n’êtes pas mal poli, vous n’interrompez pas la conversation des deux hommes, vous vous contentez de remercier l’homme perdu d’un hochement de tête. Vous vous demandez comment vous allez procéder, quand vous aurez l’opportunité nécessaire, et vous ne réalisez pas ce qu’il peut se passer autours de vous. Votre attention est happée par vos propres pensées et quand vous revenez à la réalité, le plus grand, annonce que Monsieur Underwood ne se sent pas bien. Vous connaissez son nom maintenant. Il ne vous dit rien de plus qu’auparavant. Vous secouez la tête d’un air contrit et vous allez sortir en dernier. Mais avant de le faire, alors que l’autre client soupire, vous laissez quelques secondes. La porte se referme. Vous souriez. Votre main vient tourner le verrou, l’écriteau indique maintenant fermé grâce à vous. Comment allez-vous vous y prendre ? Si vous aviez l’assurance que la boutique n’ait pas d’autre porte de sortie, vous auriez peut-être changé votre idée de faire. Pour le plaisir de l’improvisation. Mettre le feu, ce serait facile dans une chapellerie, mais au fond de vous, vous trouvez l’acte médiocre. Cela vous déplait. Vous grimacez même à votre propre idée. Priver un honnête homme de son travail n’est pas ce qui vous convient. Vous ignore pourtant s’il est honnête mais cela ne vous intéresse pas. Votre coupe papier tourne entre vos doigts alors que vous vous avancez là où ils sont partis. Vous prenez rapidement conscience que vous devez vous débarrasser de l’autre. Parce que vous ne connaissez pas son nom et qu’il vous dérange pour tuer Monsieur Underwood.
Vous vous approchez, vous y êtes presque. Mais au fond de vous une étrange curiosité vous saisit quand vous entendez l'homme parler. Serait-ce des bougres? Les mots sont bien tendres, peut-être trop pour de simples amis, et la crise de larme de Monsieur Underwood vous évoque du chagrin. Amoureux? Vous l'ignorez, vous écoutez car cela vous intéresse, peut-être que cela pourrait vous servir. Vous vous dissimulez, si jamais ils sortaient de là, vous profiteriez de l'occasion, mais pour l'instant, vous les écoutez.
Instants volés
Vous souriez et vous vous intéressez à ce qu’il y autours de vous. Vous n’êtes pas mal poli, vous n’interrompez pas la conversation des deux hommes, vous vous contentez de remercier l’homme perdu d’un hochement de tête. Vous vous demandez comment vous allez procéder, quand vous aurez l’opportunité nécessaire, et vous ne réalisez pas ce qu’il peut se passer autours de vous. Votre attention est happée par vos propres pensées et quand vous revenez à la réalité, le plus grand, annonce que Monsieur Underwood ne se sent pas bien. Vous connaissez son nom maintenant. Il ne vous dit rien de plus qu’auparavant. Vous secouez la tête d’un air contrit et vous allez sortir en dernier. Mais avant de le faire, alors que l’autre client soupire, vous laissez quelques secondes. La porte se referme. Vous souriez. Votre main vient tourner le verrou, l’écriteau indique maintenant fermé grâce à vous. Comment allez-vous vous y prendre ? Si vous aviez l’assurance que la boutique n’ait pas d’autre porte de sortie, vous auriez peut-être changé votre idée de faire. Pour le plaisir de l’improvisation. Mettre le feu, ce serait facile dans une chapellerie, mais au fond de vous, vous trouvez l’acte médiocre. Cela vous déplait. Vous grimacez même à votre propre idée. Priver un honnête homme de son travail n’est pas ce qui vous convient. Vous ignore pourtant s’il est honnête mais cela ne vous intéresse pas. Votre coupe papier tourne entre vos doigts alors que vous vous avancez là où ils sont partis. Vous prenez rapidement conscience que vous devez vous débarrasser de l’autre. Parce que vous ne connaissez pas son nom et qu’il vous dérange pour tuer Monsieur Underwood.
- Dé d’attaque :
échec critique : Vous vous trompez de destination et vous ne les trouvez pas.échec alarmant : Vous faites du bruit, ils vont savoir qu’ils ne sont plus seuls.échec anodin : Vous parvenez à proximité mais vous hésitez, vous voulez d’abord les écouter.blessure superficielle : Vous arrivez dans le dos de l’Inconnu, mais votre empressement vous fait riper. Vous l’effleurez à l’oreille.blessure grave : Enfin, vous y êtes. Vous levez votre arme et la plantez dans l’épaule d’Alistair Domhnall.blessure mortelle : Dans le dos de votre victime, vous levez votre arme et la plantez à trois reprise dans son dos.
Vous vous approchez, vous y êtes presque. Mais au fond de vous une étrange curiosité vous saisit quand vous entendez l'homme parler. Serait-ce des bougres? Les mots sont bien tendres, peut-être trop pour de simples amis, et la crise de larme de Monsieur Underwood vous évoque du chagrin. Amoureux? Vous l'ignorez, vous écoutez car cela vous intéresse, peut-être que cela pourrait vous servir. Vous vous dissimulez, si jamais ils sortaient de là, vous profiteriez de l'occasion, mais pour l'instant, vous les écoutez.
- I am the monster you claim
- Sreath-MhurtairMessages : 102
Points : 384
Avatar : --
Crédit : --
Multicompte : --
Pseudo : --
Taux d'abomination :
Le membre 'Sreath-Mhurtair' a effectué l'action suivante : Le Destin
'Sreath-Mhurtair' :
'Sreath-Mhurtair' :
- Let nature be your guide
- Ceann-UidheMessages : 230
Points : 1071
Avatar : Les dés
Crédit : La destinée
Multicompte : --
Pseudo : --
Taux d'abomination :
- Faileas
- Lindsay UnderwoodMessages : 51
Points : 87
Avatar : Robin Lord Taylor
Crédit : lstwizzle (avatar) & Anesidora (signa)
Multicompte : Seòras Ìomharach & Neacal Keer
Pseudo : MillinerXIII
Taux d'abomination : Age : 30 ans
Métier : Chapelier
Pouvoirs : Insensibilité à la chaleur, discrétion naturelle, nyctalope
Inconvénients : Emétophobie, sang froid, N'aime pas le son de la cornemuse
It is absolutely terrifying the kind of deep suffering the happiest looking people are able to hide inside themselves
He chased me and he wouldn't stop. Tag, you're it. Grabbed my hand, pushed me down Took the words right out my mouth.
Sujets similaires
» Lindsay Underwood•Have I gone mad?
» Ralentissement Seaghdh/Earnan/Alistair
» (M) Cory michael smith•Alistair Domhnall
» Alistair Domhnall | Tuez-les, ils s’en foutent, humiliez-les, ils en crèvent !
» Ralentissement Seaghdh/Earnan/Alistair
» (M) Cory michael smith•Alistair Domhnall
» Alistair Domhnall | Tuez-les, ils s’en foutent, humiliez-les, ils en crèvent !
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|