(M) Enzo Cilenti - Hootler Worreson
Page 1 sur 1 • Partagez
Hootler Worreson
Métier au choix
50 ans ou +
Origine monstrueuse
Métier au choix
50 ans ou +
Origine monstrueuse
Brave homme
Ambitieux et travailleur
Peureux et susceptible
Fier
Ambitieux et travailleur
Peureux et susceptible
Fier
Enzo
Cilenti
Cilenti
Triste bouc-émissaire que voici, en la personne de Hootler Worreson. Vous aurez ici l'histoire d'un honnête homme, qui pensait avoir mené sa vie du mieux qu'il pouvait malgré la menace que faisait peser sur lui deux lascars, et au moment où il se crut enfin en sécurité, l'épée de Damoclès lui tomba dessus.
Anglais habitant Édimbourg depuis fort longtemps, il eut tout le loisir d'acquérir des amis, même parmi des membres de clans écossais, mais aussi quelques Némésis. Deux d’entre eux lui furent étonnamment nuisibles, Sómhairl MacLeòd of Lewis et Alasdair Nilsen, deux ennemis individuels, qui devinrent des détestables compères se soutenant l’un l’autre.
Petites guerres peu dangereuses depuis leurs jeunesses, en 1755, c’est Hootler qui tire le premier. Imaginant que Nilsen (relieur-doreur dans l’imprimerie Leòdeach) convoite sa propre imprimerie, il fait assassiner sa femme et sa fille de huit ans par Aodhan, ce que le principal intéressé n’apprendra que plus tard. Depuis 1758, Sómhairl lui interdit l’entrée dans l’Edinburgh Letterpress Printers Society, premier rassemblement d’imprimeurs en Écosse, ce qui lui gâche bien des possibilités de carrière.
Pire encore, en juin 1762, alors que Alasdair est en prison parce qu’il est soupçonné d’être le tueur, les deux compères œuvrent à le faire sortir des geôles en accusant Hootler, qui fait ici figure de bouc-émissaire. C’est à ce moment qu’ils découvrent son implication dans le meurtre de la famille d’Alasdair. Ils arrivent à faire accuser Worreson de trafic et meurtre d’enfants (trafic qui est en fait organisé par eux-mêmes, meurtres qui ont été perpétrés par leurs clients) et de diffamation (Worreson aurait été celui qui a fait accuser le bon vieux Alasdair, qui aurait tenté d’aider les enfants). Hootler, pourtant innocent, perd sa licence de commerce à cause de ces deux affreux jojos, subit une amende, et fait à son tour un passage en prison. Plus humiliant encore : son rival, Alasdair Nilsen, est innocenté, récupère sa licence de commerce, et lui vole son imprimerie.
Des années de dur labeur perdues - des années à conquérir une richesse qu'il n'avait jamais eu de naissance - à cause de deux compagnons se comportant encore comme des enfants, mais des enfants dangereux. Et le pire dans tout ça, c’est qu’il n’y est presque pour rien, victime d’enfantillages et d’une inimitié gratuite.
- les détails de l’affreuse manigance:
- Imprimeur sans trop d'histoires, il a perdu tout récemment sa licence de commerce. Mais peut-être devrions nous revenir aux origines de cette sombre affaire. Tout part de deux inimitiés. L'une d'entre elle est avec le dénommé Alasdair Nilsen, depuis leur fin d’adolescence, l’autre avec le fier Highlander Sómhairl MacLeòd of Lewis. Mais cela devint plus insupportable encore lorsque ces deux fieffé enquiquineurs se rencontrèrent, un peu par hasard, et à ses yeux, se liguèrent contre lui.
Tout récemment encore, les deux idiots lui posèrent bien des problèmes. En 1758 est créée l'Edinburgh Letterpress Printers Society, qui est le premier rassemblement d’imprimeurs en Écosse. En 1762, une quinzaine d’imprimeries sur la trentaine d’Édimbourg en fait partie, et y appartenir est un gage de qualité, de primauté et aussi permis de coercition. Le problème étant que ce foutu MacLeòd s’est mis l’organisation dans la poche. Il lui bloque la possibilité d’y entrer.
Revenons dans le temps, car les compères se rencontrèrent au début des années 50, et que dès le départ, cela l’inquiéta fort. Persuadé qu'Alasdair convoitait son imprimerie, et en avait les moyens à cause de ce MacLeòd dont il ne doutait pas qu'il saurait falsifier les documents, le vieux Fir devenait de plus en plus gênant. Or, il se trouve qu'il avait sous la main un jeune homme, dont Nilsen s'était odieusement servi, et qui le détestait tout autant de lui. Ainsi, en 1755, Worreson ordonna lui-même à Aodhan – qu'il n'avait pas plus de remord à manipuler qu'en avait Alasdair – de tuer la femme et la fille de son rival, pensant qu'il ne se remettrait pas d'un tel coup et qu'il serait à jamais débarrassé de cet homme fort incommodant.
Nous disions donc que, plus récemment, en 1762, il se pourrait que l'imprimeur ait perdu sa licence, dans un malheureux concours de circonstances. Le coup-bas, que tous attendaient en quelque sorte, finit par avoir lieu, laissant sa victime quelque peu incrédule. Du jour au lendemain, alors qu'il se pensait enfin tranquille et que Nilsen croupissait en prison, accusé d'être l'affreux tueur qui parcoure les rues d’Édimbourg, il vit sa réputation salie et assista à un retournement de situation loin d'être en sa faveur, et surtout à son goût. On l'accuse, lui et ses proches, d'être à l'origine de la disparition de tous ces enfants dont on n'a jamais retrouvé de traces, de les avoir tués, et certains soufflent que cela pourrait être lui, le fameux tueur de nos rues...
On l'accuse même d'avoir trempé dans une affaire de vente d'enfants, et d'avoir fait ça au sein même de son imprimerie. Le bon Alasdair, ce petit vieux au grand cœur, comme tout le monde le sait, a voulu aider ces pauvres mouflards, livrés aux infâmes griffes de cet horrible personnage. Mais ce dernier a lancé une accusation mensongère, essayé de faire croire que ce bon vieux était le tueur d’Édimbourg, acheté des voix, graissé des pattes, fabriqué des yeux pour témoigner contre lui. Ainsi, le Fir n'est qu'une victime de plus des sombres machinations de cette créature abjecte...
Bien sûr, l'imprimeur sait bien qui est derrière toutes ces fausses rumeurs, ces accusations terribles qui sont toutes plus fausses les unes que les autres (sauf, peut-être, d'avoir fortement contribué à envoyé son rival croupir aux geôles du château...). C'est Sómhairl MacLeòd of Lewis, ce grand rouquin qui traîne toujours aux basques du vieillard, ce grand rouquin qu'il abhorre au plus haut point. Car les petites manigances de ce genre, cela lui ressemble bien, et après tout le vieux était en prison à ce moment là.
Ce qu'il ignore, c'est que ces mômes qui ont disparu ou qui ont été retrouvés morts, c'était déjà l’œuvre des deux compères. Les deux compères qui tenaient un commerce d'enfants, le commerce d'enfants dans lequel on l'accuse (à tort) d'avoir trempé. Quelques mouftons ont été vendus à la mauvaise personne, qui a fini par balancer leurs petits cadavres à l'eau, ou les a emmenés aux Amériques pour qu'ils ne reviennent jamais... Sómhairl a fait miroité quelques broutilles au réseau d'orphelins en échange de leurs faux témoignages. Ces quelques broutilles ont suffi pour que toutes ces années de vie en tant qu'honnête homme et de travailleur respectable soient oubliées de tous.
A la mi-juin, le tribunal a tranché : Alasdair était innocent, victime d'un mauvais complot. L'imprimeur a, lui, écopé d'une petite amende pour diffamation, ainsi que du retrait de sa licence durement gagnée. Licence que Alasdair a récupérée, ce qui lui a permis d'obtenir une imprimerie. Ou plutôt, d'obtenir SON imprimerie, à lui ! Sans compter que le « bon petit vieux » passe maintenant pour un héros, lorsqu'on le siffle dans la rue. Les orphelins ont même inventé une chanson à son propos, sobrement intitulée « L’Ogre Worreson devenu Hootler ». Les deux compères ne se gênent plus pour lui rire au nez et n'ont pas l'ombre d'un remord. Notons aussi que Hootler a dû faire un passage en prison, à Old Tolbooth.
Car un évènement fut sans doute décisif en ce mois de juin, qui explique la cruauté de ces deux amis. En voulant faire tomber leur ennemi afin de mieux sortir de prison le Fir Darrig, Sómhairl et Alasdair ont découvert l'implication de l'imprimeur dans le meurtre de la femme et de l'enfant de Nilsen. Ce dernier cherche depuis l'occasion de lui planter un couteau en travers de la gorge et de le balancer à l'eau, et son meilleur ami serait certainement en train de tenir les pieds...
Le grand méchant Fir
Petite inimitié qui a commencé dans leur fin d'adolescence à Édimbourg, elle s'est construite au fil du temps. Le futur imprimeur détesta vite l'insupportable Fir Darrig, lui et ses blagues, cette façon de ne jamais être sérieux, les mauvais tours et les moqueries qu’il ne manquait pas de faire à tout le monde, toutes ses petites crasses délivrées avec le sourire... Cela amusa beaucoup le Fir Darrig, qui fit tout pour entretenir cette haine naissance. Lorsque celui-ci rencontra le Highlander, les choses s’envenimèrent : Worreson commença à voir l’idiot comme un rival dangereux, et leurs batailles de bac à sable devint une véritable guerre dans son esprit. Cependant, depuis l’assassinat de sa famille qu’il a organisé, il se croyait relativement à l’abri. Il sait maintenant qu’il n’en était rien, et sa haine s’est enflammée en un monstrueux courroux.
Le pamphlétaire offusqué
et justice revancharde
et justice revancharde
Il est assez triste et ironique de s'en souvenir, mais au départ, Hootler n’avait rien contre ce grand Highlander. Le problème étant que ce dernier lui voua rapidement une forte animosité, et surtout une animosité disproportionnée à ses motifs.
Au début, il ne s'agissait que de désapprouver les relations de l'anglais, qui compte parmi ses amis quelques membres de clans écossais en opposition avec celui de Sómhairl, ses septs ou alliés, puis de craindre que les affaires de l'imprimeur profitent à l'Angleterre et non l'Écosse.
Mais un nouvel évènement décida l'Highlander à détester l'homme avec une intensité qui se maintiendra pendant plus d'une décade. Se prétextant une bienveillance et sagesse de l'âge (il venait de fêter ses 30 ans et avait passé une semaine à se requinquer de bravoure et fausse bonté), Sómhairl se décida à enterrer la hache de guerre en choisissant l'imprimerie de Worreson pour son nouveau livret, un pamphlet déguisé qui s'adressait aux autres membres de la société clanique pour dénoncer et se moquer d'une loi un peu caduque concernant la passation héréditaire des propriétés de leurs terres, invitant ses semblables à en user au plus vite avant son changement prévu quelques semaines plus tard, juste pour ennuyer la justice (dont il faisait pourtant partie). Bien que démarche flirtant avec les limites de la légalité, Hootler refusa la demande.
Il estimait que ce conflit ne le concernait pas, système archaïque en décalage avec sa culture, bien que témoin de la souffrance de ses amis membres de clans. Aux yeux de Sómhairl, ce n'était là qu'une écœurante trahison. Valorisant davantage la loyauté des alliés que la raison politique, le poète ne proposa au débat qu'un aspect de passion, d'héritage, traditions et de maraudage, tandis que l'imprimeur n'y voyait qu'évolution politique, économie nationale et unité sociale. C'est donc en qualifiant le sassenach de couard se lovant dans les cendres de l'ancien régime écossais, œuvres de son gouvernement (pour qui l'Highlander s'était pourtant battu en s'opposant aux Jacobites) que Sómhairl confirma la colère intensifiée pour l'homme.
Mais pour Hootler,cela n’avait pas plus d'importance, du moins jusqu’au moment où l'Highlander commença à lui faire des petits coups bas et lui mettre des bâtons dans les roues, l'imprimeur se laissant lui-même aller un jour à imprimer des lignes, de piètre qualité, mais qui avaient le mérite d'être celles d'un concurrent au poète. Et lorsque celui-ci se lia d’amitié avec Alasdair Nilsen, Hootler vit les ennuis arriver en même temps que la naissance, justifiée, de son effroi. Cet homme qui n’était qu’une épine dans son pied est devenu petit à petit la principale menace sur sa carrière, et peut-être même plus encore. Cet homme qui au départ l’agaçait, il en est venu à l’exécrer et le haïr.
Au début, il ne s'agissait que de désapprouver les relations de l'anglais, qui compte parmi ses amis quelques membres de clans écossais en opposition avec celui de Sómhairl, ses septs ou alliés, puis de craindre que les affaires de l'imprimeur profitent à l'Angleterre et non l'Écosse.
Mais un nouvel évènement décida l'Highlander à détester l'homme avec une intensité qui se maintiendra pendant plus d'une décade. Se prétextant une bienveillance et sagesse de l'âge (il venait de fêter ses 30 ans et avait passé une semaine à se requinquer de bravoure et fausse bonté), Sómhairl se décida à enterrer la hache de guerre en choisissant l'imprimerie de Worreson pour son nouveau livret, un pamphlet déguisé qui s'adressait aux autres membres de la société clanique pour dénoncer et se moquer d'une loi un peu caduque concernant la passation héréditaire des propriétés de leurs terres, invitant ses semblables à en user au plus vite avant son changement prévu quelques semaines plus tard, juste pour ennuyer la justice (dont il faisait pourtant partie). Bien que démarche flirtant avec les limites de la légalité, Hootler refusa la demande.
Il estimait que ce conflit ne le concernait pas, système archaïque en décalage avec sa culture, bien que témoin de la souffrance de ses amis membres de clans. Aux yeux de Sómhairl, ce n'était là qu'une écœurante trahison. Valorisant davantage la loyauté des alliés que la raison politique, le poète ne proposa au débat qu'un aspect de passion, d'héritage, traditions et de maraudage, tandis que l'imprimeur n'y voyait qu'évolution politique, économie nationale et unité sociale. C'est donc en qualifiant le sassenach de couard se lovant dans les cendres de l'ancien régime écossais, œuvres de son gouvernement (pour qui l'Highlander s'était pourtant battu en s'opposant aux Jacobites) que Sómhairl confirma la colère intensifiée pour l'homme.
Mais pour Hootler,cela n’avait pas plus d'importance, du moins jusqu’au moment où l'Highlander commença à lui faire des petits coups bas et lui mettre des bâtons dans les roues, l'imprimeur se laissant lui-même aller un jour à imprimer des lignes, de piètre qualité, mais qui avaient le mérite d'être celles d'un concurrent au poète. Et lorsque celui-ci se lia d’amitié avec Alasdair Nilsen, Hootler vit les ennuis arriver en même temps que la naissance, justifiée, de son effroi. Cet homme qui n’était qu’une épine dans son pied est devenu petit à petit la principale menace sur sa carrière, et peut-être même plus encore. Cet homme qui au départ l’agaçait, il en est venu à l’exécrer et le haïr.
- Faileas
- Alasdair NilsenMessages : 81
Points : 213
Avatar : Christoph Waltz
Crédit : .nyx
Multicompte : /
Pseudo : Vanderwood
Taux d'abomination : Age : 55 ans
Métier : Sauveur de la jeunesse des rues et voleur d'imprimerie
Pouvoirs : Mensonges imparables - Charmer les jeunes - Éveiller les peurs enfouies - Invisibilité de courte durée
Inconvénients : Farceur - Ses blagues vont souvent un peu trop loin - Incapable de laisser passer une défaite
Un nain de jardin te fait face. Il a encore la bouche pleine d'un tas de lettres qu'il a mangé : dommage, tu n'as plus que trois choix de réponses. Tu te retiens de pousser un cri devant une telle horreur et t'apprête à t'enfuir, lorsque tu t'aperçois que tu es encerclé par ces petits monstres
- Tu lui donnes un coup de pied : Vas en I.
- Tu lui demandes d'exaucer un vœu : Vas en N.
- Tu t'agenouilles, te fais passer pour l'un des leurs et commence à les suivre : Vas en F.
I Les nains semblent effrayés. Ils attrapent les lettres restantes et les avalent, se remplissant de nouvelles possibilités, mais te privant de tout échappatoire. Tu sens une ombre te recouvrir et lorsque tu te retournes, il est trop tard : le Sreath-Mhurtair t'assassine tandis que les nains ricanent, murmurant "le I est pour idiot". Tu es fortement invité à recommencer ce jeu.
TI Il n'y a qu'un seul et unique vœu possible, tu n'as pas su le choisir : les nains te ligotent, te privent de tes lettres et écrivent "triple idiot" sur ton front. Tu es livré es jeté dehors, à la merci du Sreath-Mhurtair qui se lèche les babines en te voyant.
F Tu avances avec peine dans un de leurs souterrains où le nain te guide. Arrivé à un embranchement muni de pancartes où tournes-tu ?
- Tu vas vers le nain qui t'enjoint à le rejoindre dans la salle du vœu : Vas en N.J.
- Tu prétends que tu les trouves très impolis, car d'après les coutumes de ton jardin, les invités ont le droit à une sieste dans la salle aux trésors avant toute chose : Vas en F.V.
- Tu es agacé par ce jeu stupide qui n'a rien à faire ici et a peu à voir avec Alasdair et choisit de revenir sur tes pas, ces derniers te courent après : Vas en I.
FV Tu te relèves et commences à creuser vers le haut, prenant tous les trésors possibles et t'enfuyant à grandes enjambées. Bravo : tu as choisi la meilleure des voies, celle de la fourberie, toujours victorieuse ! Alasdair te féliciterait.
N Le nain te promet d'exaucer tous tes vœux et il est prêt à te montrer ses pouvoirs magiques. Il te prend par la main, te demande de fermer les yeux, de t'agenouiller et de marcher.
- Tu ouvres les yeux malgré tout en chemin, rompant le sortilège et suscitant l'agacement du nain : Vas en f
- Tu déchaines ta colère demande à avoir ton vœu tout de suite et refuse de marcher : Vas en i
- Tu laisses le sortilège opérer : Vas en NJ.
NJ Tu te retrouves au milieu d'une arène envahie par les nains de jardin. Le roi nain te fait face et te demande quel est LE vœu.
- Tu demandes plus de vœux : Vas en TI
- Tu insinues que ce jardin n'est pas assez riche pour exaucer LE vœu, furieux, ils te conduisent à la salle aux trésors pour que tu retires ta parole : Vas en FV.
- Croyant à leur magie, tu demandes à être l'être le plus puissant de l'univers : Vas en GNJ
GNJ Le roi des nains déclare qu'ils ont enfin trouvé l'être suprême, le Grand Nain de Jardin. On te coiffe d'un bonnet rouge, t'installe sur un trône et te prie à longueur de journées, te menaçant de mort si tu oses essayer de t'échapper...
Merci pour l'intérêt que vous portez à Worreson, notre bouc-émissaire qu'on aime d'un amour vrai, et rien que pour ça on vous aime déjà ! Le nom est bien entendu négociable, puisqu'il cache une double insulte, ootler étant en scot un animal ou une personne qui vit dehors en hiver, qui n'a plus de maison ni d'abri. Quant à Whore's son... Well... Nous avons peut-être un peu abusé sur ce point Mais c'était si plaisant d'ajouter poids supplémentaire sur les éclanches de ce malheureux, nous n'avons pas su résister, et si nous nous écoutions, il aurait certainement une main en moins et une histoire d'amour tragique en plus Que voulez-vous, s'il est le bouc-émissaire de nos personnages, il n'est pas pour autant celui des joueurs, et par conséquent on veut que vous vous sentiez bien dans vos bottes avec le blase qui vous sied, que ce soit un autre à l'effluve britannique ou celui-ci, conservé pour la gloire de la raillerie en deux temps. Sentez donc vous libre de changer de nom s'il vous déplaît, nous comprendrons tout à fait.
L'avatar est tout aussi négociable et à votre discrétion. Malgré tout, nous avons tenu à vous proposer quelques pistes, et aujourd'hui encore, notre conversation Discord porte les marques de nos larmes sur cette douloureuse question. Parfois, on entend encore le vent ramener les complaintes de ces chants narrant l'épopée funeste que fut le choix du faceclaim de Hootler Worreson. Les deux plus grandes pistes sont celles-ci : Enzo Cilenti (présent ci-dessus) et Rufus Sewell. Nous souhaitons néanmoins vous proposer également Robert Downey Junior, au cas où vous auriez l'esprit aussi taquineur que nous En effet, même si le personnage en lui-même n'est pas drôle et a en fait souffert plus qu'il n'aurait dû, il nous semble qu'il pourrait être intéressant de raconter ses malheurs avec humour ou méchante ironie dans la gargue sous les traits de ce dernier acteur.
Nous aimerions conserverle lieu de naissance de Hootler, vers Appin (à noter que Breac en provient également, et a une flopée de PNJs sur-place si vous voulez vous amuser un peu), l'origine sociale plutôt basse (ce qui lui permet une élévation sociale grâce à son métier et l'acquisition de son imprimerie), la manigance dont il a fait les frais et les liens avec les autres personnages. Cependant, nous sommes ouverts à tout rajout, concertation et complotisme. En dehors de cela, nous ne sommes pas très exigeants. Vous êtes libre de changer, modifier ou développer son caractère comme vous l'entendez, tant que cela ne vient pas entraver ce qui a été dit ci-dessus. Pour la race , c'est votre choix, tout comme le métier , il peut s'être reconverti dans ce que vous souhaitez, exercer un travail précaire, comme être resté dans le domaine de l'imprimerie et des lettres.
Mon superbe compère Sómhairl et moi-même ne sommes pas non plus bien exigeant du point de vue de la plume, on écrit parfois beaucoup, mais nous ne requérons rien de votre part si ce n'est de trouver vos aises avec ce personnage et de prendre autant de plaisir à le développer, vous l’approprier et le jouer que nous avons eu à le créer.
Si vous ne rejoignez pas le forum avec Worreson, rejoignez quand même le forum ! Il est beau, il est bon, il sent frais, et sérieusement, les monstres ici sont des amours, vous serez accueilli avec poutous et gentillesse (peut-être aussi avec une lame sanglante dans le dos, mais on est sûr que c'est aussi fait avec amour). Un grand merci pour votre lecture, si le scénario vous a plu n'hésitez pas à envoyer à l'un de nous un petit MP !
Nous aimerions conserver
Mon superbe compère Sómhairl et moi-même ne sommes pas non plus bien exigeant du point de vue de la plume, on écrit parfois beaucoup, mais nous ne requérons rien de votre part si ce n'est de trouver vos aises avec ce personnage et de prendre autant de plaisir à le développer, vous l’approprier et le jouer que nous avons eu à le créer.
Si vous ne rejoignez pas le forum avec Worreson, rejoignez quand même le forum ! Il est beau, il est bon, il sent frais, et sérieusement, les monstres ici sont des amours, vous serez accueilli avec poutous et gentillesse (peut-être aussi avec une lame sanglante dans le dos, mais on est sûr que c'est aussi fait avec amour). Un grand merci pour votre lecture, si le scénario vous a plu n'hésitez pas à envoyer à l'un de nous un petit MP !
- Faileas
- Alasdair NilsenMessages : 81
Points : 213
Avatar : Christoph Waltz
Crédit : .nyx
Multicompte : /
Pseudo : Vanderwood
Taux d'abomination : Age : 55 ans
Métier : Sauveur de la jeunesse des rues et voleur d'imprimerie
Pouvoirs : Mensonges imparables - Charmer les jeunes - Éveiller les peurs enfouies - Invisibilité de courte durée
Inconvénients : Farceur - Ses blagues vont souvent un peu trop loin - Incapable de laisser passer une défaite
Un nain de jardin te fait face. Il a encore la bouche pleine d'un tas de lettres qu'il a mangé : dommage, tu n'as plus que trois choix de réponses. Tu te retiens de pousser un cri devant une telle horreur et t'apprête à t'enfuir, lorsque tu t'aperçois que tu es encerclé par ces petits monstres
- Tu lui donnes un coup de pied : Vas en I.
- Tu lui demandes d'exaucer un vœu : Vas en N.
- Tu t'agenouilles, te fais passer pour l'un des leurs et commence à les suivre : Vas en F.
I Les nains semblent effrayés. Ils attrapent les lettres restantes et les avalent, se remplissant de nouvelles possibilités, mais te privant de tout échappatoire. Tu sens une ombre te recouvrir et lorsque tu te retournes, il est trop tard : le Sreath-Mhurtair t'assassine tandis que les nains ricanent, murmurant "le I est pour idiot". Tu es fortement invité à recommencer ce jeu.
TI Il n'y a qu'un seul et unique vœu possible, tu n'as pas su le choisir : les nains te ligotent, te privent de tes lettres et écrivent "triple idiot" sur ton front. Tu es livré es jeté dehors, à la merci du Sreath-Mhurtair qui se lèche les babines en te voyant.
F Tu avances avec peine dans un de leurs souterrains où le nain te guide. Arrivé à un embranchement muni de pancartes où tournes-tu ?
- Tu vas vers le nain qui t'enjoint à le rejoindre dans la salle du vœu : Vas en N.J.
- Tu prétends que tu les trouves très impolis, car d'après les coutumes de ton jardin, les invités ont le droit à une sieste dans la salle aux trésors avant toute chose : Vas en F.V.
- Tu es agacé par ce jeu stupide qui n'a rien à faire ici et a peu à voir avec Alasdair et choisit de revenir sur tes pas, ces derniers te courent après : Vas en I.
FV Tu te relèves et commences à creuser vers le haut, prenant tous les trésors possibles et t'enfuyant à grandes enjambées. Bravo : tu as choisi la meilleure des voies, celle de la fourberie, toujours victorieuse ! Alasdair te féliciterait.
N Le nain te promet d'exaucer tous tes vœux et il est prêt à te montrer ses pouvoirs magiques. Il te prend par la main, te demande de fermer les yeux, de t'agenouiller et de marcher.
- Tu ouvres les yeux malgré tout en chemin, rompant le sortilège et suscitant l'agacement du nain : Vas en f
- Tu déchaines ta colère demande à avoir ton vœu tout de suite et refuse de marcher : Vas en i
- Tu laisses le sortilège opérer : Vas en NJ.
NJ Tu te retrouves au milieu d'une arène envahie par les nains de jardin. Le roi nain te fait face et te demande quel est LE vœu.
- Tu demandes plus de vœux : Vas en TI
- Tu insinues que ce jardin n'est pas assez riche pour exaucer LE vœu, furieux, ils te conduisent à la salle aux trésors pour que tu retires ta parole : Vas en FV.
- Croyant à leur magie, tu demandes à être l'être le plus puissant de l'univers : Vas en GNJ
GNJ Le roi des nains déclare qu'ils ont enfin trouvé l'être suprême, le Grand Nain de Jardin. On te coiffe d'un bonnet rouge, t'installe sur un trône et te prie à longueur de journées, te menaçant de mort si tu oses essayer de t'échapper...
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|